On parle moins de la biodiversité que du climat, mais les deux questions sont interconnectées dans un écosystème mondial global.

La première étape pour améliorer la situation est d'observer le comportement des entités publiques et privées et d'éliminer le financement des pratiques nuisibles à l'environnement.

Certains traits sont connus et peuvent être attribués à des activités mal gouvernées qui causent des dommages à l'environnement ou nuisent à la biodiversité, comme l'indiquent les lanceurs d'alerte et parfois les évaluations d'impact des parties prenantes.

D 'autres situations sont plus difficiles à évaluer, comme les dommages collatéraux liés à certains types d'énergie renouvelable.

Il est également évident qu'il est nécessaire de contrôler l'état des forêts, source première de stabilité des écosystèmes et du climat, et donc d'éviter les activités qui provoquent la déforestation. Un exemple souvent cité est celui de l'huile de palme, qui a entraîné la destruction de forêts primaires et leur remplacement par des plantations en monoculture.

La gestion durable des forêts a été codifiée et les impacts sont facilement mesurés grâce à des observations par satellite. Ces données permettent d'établir clairement qui respecte - ou ne respecte pas - les normes de travail de la sylviculture durable.

La situation des énergies renouvelables, et en particulier de l'énergie hydroélectrique générée par les barrages, aux multiples impacts sociaux, environnementaux et parfois géopolitiques, est beaucoup plus controversée.

il existe des réglementations et des programmes de soutien aux entreprises opérant dans de nombreux secteurs d'activité, l'activité d'exclusion peut donc être basée sur des facteurs objectifs d'impact et d'engagement.

La question des dommages environnementaux est principalement traitée par l'approche de l'exclusion. En effet, les fonds ont tendance à :

• Société exclure les investissements impliqués dans des opérations de déforestation, en particulier dans les zones indigènes. La stratégie d'exclusion est mise en œuvre en fonction d'indicateurs clés
• Société exclure les investissements dans des épisodes controversés de dommages environnementaux ou de destruction de la biodiversité
• Société exclure les investissements liés à l'énergie (y compris les énergies renouvelables) qui ne prennent pas en compte les effets environnementaux de leurs pratiques (géothermie, biomasse, hydroélectricité...)

Société Soixante pour cent des fonds durables contrôlent l'impact environnemental de leurs investissements en excluant les investissements gouvernementaux ou les investissements générant des dommages environnementaux. En détail :

• Société 55% excluent de causer desdommages à l'environnement
• Société 21% excluent ladéforestation
• 6 % testent l'impact environnemental des nouvelles technologies énergétiques selon le principe "Do no significant harm" ("ne pas causer de dommages significatifs")
• Société 6% excluent les controverses impliquées dans desdommages matériels à la biodiversité